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De nos jours, à  l’ère  de la globalisation, où le monde est réduit grâce au développement des nouvelles techniques d’information et de communication, à un simple village, nuls ne peut ignorer l’importance des système d’informations géographiques, non seulement comme outil de gestions des données à caractère spatial, mais également comme un système décisionnel incontournable pour la planification, l’optimisation et la gestion de projets territoriaux.  

  

Dans ce contexte et pour relever le défi économique du vingt et unième siècle, le Maroc, dés les années quatre vingt dix, et fort conscient des enjeux socio-économiques et du rôle que peuvent jouer les SIG aussi bien dans le développement du secteur public que privé n’a cessé d’encourager l’utilisation de cet outil décisionnel dans la gestion et la maîtrise de toute la problématique territoriale.

 

Actuellement, il n’y a pas un domaine public (collectivités locales, administrations, etc.…) privé (entreprises, bureaux d’études), s’intéressant à la gestion des espaces territoriaux, où les SIG n’y sont pas utilisés et il n’y a pas un jour où on n’assiste pas à l’installation et à la création d’entreprises spécialisées dans les SIG aussi bien nationales qu’internationales. Pour s’en convaincre il suffit de regarder le nombre de territoires, d’entreprises et d’administrations qui se sont dotés de systèmes d’informations géographiques. 

 

Le congrès international sur les SIG et GT, le premier en son genre au Maroc baptisé «SIGGT» qui sera organisé par la Faculté des Sciences Aïn Chock de l’université Hassan II Casablanca en collaboration avec l’institut national de recherche halieutique INRH, l’école Hassania des travaux publics EHTP, les 20,21 Mai 2010, constituera un carrefour de débats, d’échanges et de progrès des connaissances en matière des SIG. Il vise à travers les différents thèmes touchant toute la problématique de gestion territoriale à atteindre les objectifs spécifiques suivants : -Répertorier les différentes expertises en matière des SIG-Réfléchir sur la mise au point d’une plateforme de dialogue et de collaborations entre les chercheurs et les opérateurs socio-économiques.-Consolider les relations d’échanges et de coopération entre les équipes de recherches nationales et internationales.    

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